Tu connais l'histoire d'un gars qui a englouti la voiture de son meilleur pote ? Non ? Haha, elle est marrante..

Je me nomme zachary william eastwood, j'ai actuellement 23 ans. Je suis né le 17 mai, à boston. J'habite dans le quartier Est. Etre un werewolf m'a libéré d'une quelque façon. A côté de cela, on me qualifie souvent de naïf, généreux, ouvert d'esprit. On peut facilement m'identifier physiquement grâce à ma grande taille.On me dit que je ressemble beaucoup à cory monteith.

« - J’ai vingt-trois ans et je fais ma biographie… Et puis, personne ne la lira alors à quoi bon. Enfin si un jour je perds la mémoire, ça pourrait toujours être utile qu’on me dise qui j’étais. Bon, peu importe. C’est parti.

A ce qu’il paraît, je suis né lors d’une canicule. La chaleur était insupportable selon mon père. Ah, il faut que je précise. Je suis né à Boston, le dix-sept mai mille neuf-cent quatre-vingt neuf. Ma mère s’appelait Sarah, elle était infirmière. Son mari, mon père, s’appelait Joseph mais il se faisait appeler Joe. Il était cuisinier. Rien d’exceptionnel. Reprenons ma naissance. C’était au milieu de l’après-midi. J’imagine qu’il ne devait pas y avoir beaucoup de personne dans la chambre. La chambre vingt-six pour être exact. Je ne sais plus exactement combien je pesais et je mesurais, mais ce n’est pas très important. Maman me l’avait dit mais bon.

Dans mes souvenirs, j’ai toujours vécu à Boston. Dès mon bas-âge. J’ai eu la chance d’avoir des parents attentionnés et qui m’aimaient. Selon mon père, j’étais précoce. J’ai commencé à marcher, parler, apprendre à lire et écrire bien avant les autres. Mais je ne suis pas un surdoué, loin de là. A mes quatre ans, ma mère a accouché d’une petite fille. Kennedy, ma petite sœur. A la maternité, j’aurais apparemment demandé, lorsqu’elle était dans cette sorte de berceau transparent, ce qu’on attendait pour « remplir l’aquarium d’eau ». Je l’avais dis, je ne suis pas un surdoué du tout.

Contrairement à ce qu’on pourrait penser, j’ai toujours été proche de ma sœur. On était inséparable malgré nos quatre ans de différence. Et ce, jusqu’à aujourd’hui. Du moins, si je lis ça en étant plus vieux, ça aura peut-être changé mais j’espère que non. A l’école, de la maternelle au primaire, j’étais toujours en fond de classe à rêver par la fenêtre, m’imaginer partir à travers le monde. Un peu cliché, certes. J’avais des notes moyennes, mais ça ne comptait pas beaucoup pour moi. Au lycée, ça a été plus dur pour moi. Je me suis rapidement fait des amis. Mais jamais de très proches, la plupart trop superficiels, même les mecs. A cause de ma grande taille, on m’a proposé de rejoindre l’équipe de foot, natation… J’ai choisis le basket. C’était bien pour se défouler. Je n’ai jamais su ce que je voulais faire de ma vie. C’est là que j’ai commencé la musique. La batterie. C’était les moments où j’aimais faire quelque chose. J’ai pas eu beaucoup de copines. Je passe d’un sujet à l’autre, c’est assez incroyable. Bref…
L’adolescence n’a pas été une partie de plaisir non plus. Mes parents ont divorcés, ma mère a fait une dépression. Elle ne voulait plus de Kennedy et moi, nous tenant pour responsables de tous ses malheurs. On a donc vécu chez notre père, qui a déménagé à Seattle, de l’autre côté du pays. J’avais dix-sept ans et Kennedy, treize. Ça a été difficile pour elle mais j’ai toujours été là. Je le serais toujours. Et « vieux moi », quand tu liras ça, j’espère que ce sera toujours le cas. Sinon, reprends-toi. Mon père m’a aussi appris une chose que j’aurais préféré ne jamais savoir. Il n’était pas comme ma mère ou les gens dits « normaux ». C’était un loup. Loup-garou, mais pour moi, c’est la même chose. A mon âge, il a, involontairement tué quelqu’un, ce qui a en quelques sortes amorcé cette « malédiction ». Il m’a dis que ce serait la même chose pour moi, si je venais à commettre un meurtre. De même pour ma petite sœur. T’imagine, comment on réagit à ce genre de chose ? Je n’y croyais pas, jusqu’à que j’en ai la preuve.

A mes vingt ans, j’ai commencé à travailler dans une librairie musicale. Le travail me plaisait assez, mais pas le patron. Alors j’ai démissionné. J’ai cherché du travail et j’en ai trouvé un nouveau. Le même, mais dans de meilleures conditions. Mystic Falls. Le nom en jette, je trouve. J’ai emmené Kennedy avec moi. Au jour d’aujourd’hui, elle a dix-neuf ans. En arrivant en ville, je me suis baladé. Dans la forêt. Un inconnu a tenté de m’attaquer et je me suis défendu. Il est mort, par ma faute. Cette fichue malédiction n’a pas ratée une génération et je suis devenu une sorte de monstre, un animal. Je l’ai caché à Kennedy et je lui cacherai toujours. L’existence du « surnaturel » doit absolument lui être inconnu. Je l’aime trop pour la mettre dans une situation pareille.

Maintenant, si c’est moi qui lit ça en version plus âgée, bien-sûr, j’aimerais que tu le gardes pour toi.

Zachary William Eastwood,
Le quatorze mars deux mille treize. »

« - Résumer ma personnalité ou résumer mon caractère ? Il y a une différence. La personnalité varie en fonction de l’environnement social, des gens, de la situation, etc… Le caractère est impossible à changer, c’est ce que nous sommes. Ah… mes cours de philosophie auront peut-être servis à quelque chose, qui sait.

La plupart des gens, au premier abord, ont souvent l’impression que je suis quelqu’un d’un peu fier, mais niais. Fier, c’est faux. Niais, peut-être. Je sais que je suis un peu naïf, mais je n’y peux rien. Les gens me dupent souvent, car j’ai tendance à toujours voir le bien chez les autres. Je suis optimiste. Pour moi, il y a toujours du bon chez tout le monde. Je suis très ouvert d’esprit. J’accepte les autres tels qu’ils sont. D’où le fait que je n’aime pas la superficialité. Aimant faire plaisir aux autres, je suis très généreux. J’aime voir un sourire sur un visage, parfois même y voir la joie. L’humeur, je pense, doit être une de mes qualités. Je me sens mal à l’aise lorsque quelqu’un semble triste ou malheureux et je ne sais pas vraiment comment y faire. Je ne saurais consoler que seules les personnes que je connais très bien car je saurais comment m’y prendre. En amour, c’est un peu la même chose. Je suis naïf, je ne sais pas trop comment m’y prendre. Mon air niais ressort souvent dans ces moments là. Je suis très maladroit, mais vraiment beaucoup. Je suis capable de faire tomber n’importe quoi n’importe quand. Je perds souvent mes objets mais la plupart du temps, je les casse. J’ai deux mains gauches, c’est vrai.

Maintenant, si vous voulez mieux me connaître, le mieux est de me côtoyer, non ? »

◣ Pénom : Zachary, Mathilde, MARIE JOE LISA ALWAYS THE SAME, THAT'S NOT MY NAAAAAME.. *jesors*
◣ Age : 16 ans, bientôt. :3
◣ En deux mots je suis : Incomprise, rêveuse
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